De nombreuses questions sont soulevées par le CICR et le BPH qui mettent aussi en garde : les technologies rendent les actions humanitaires plus efficaces mais ne doivent en aucun cas conduire à une exploitation, à une mise en danger ou à un préjudice pour les bénéficiaires de ces actions. Une majorité des participants partagent ces préoccupations, mais sur le terrain on constate que les principes de la protection des données ne sont pas toujours pris en compte.